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SUBDORAL

by PCKRZ

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1.
Energie 03:25
On m’a branché aux machines, J’ai trop d’prises midi sur la nuque, J’crache des éclairs et laisse des cicatrices sur la pute. Les cables pendent du creux de nos avants bras, stock l’énergie en pack Si elle s’échappe du pentacle, Black listé par EDF et le comité des fêtes, Fracture énergétique chaque fois qu’on se pête la tête, C’est trop souvent. Mêle énergie sexuelle, éolienne, quand on baise et qu’j’repars dans un coup d’vent. BZZ BZZ RAP PUNK MACHINE Créatures hybrides avides de lager et de cyprine. Du sexe et de la drogue émane l’energie rock n roll Arbore nos problemes d’alcool comme autant de badge pockémon OHM, ampère, coke, volt, amphet, rhum, tonnerre. Cocktail pour ogm sur les raisins de ma colère En roller sur le courant, on surfe pas sur la vague Brule nous les allèles mec, on est pas de ta putain d’race. De celle qu’on gaze, de celle qu’on vend, de celle qu’on pend NON , des qu’on s’masque on porte l’histoire des morts vivants Pour s’irradier jusqu’à la mort d’énergie lunaire Coupe la route du poison et tranche moi la jugulaire. Les machines ont pris le dessus, trop d’chiffres sur le synthé J’pourrais lire l’heure dessus. De sueur et d’électricité, Claude François On fait que traduire l’énergie que la drogue t’envoie. Du feu dans la voix, du courant au bout des doigts Promenez vous dans la boite pendant que PACKERZ n’y est pas Puis on sort des loges, la force de la bière dans la gorge On vient cracher l’energie comme des acteurs porn Du sang dans la bouche, d’la sueur entre les touches Profitez de votre musique de merde avant qu’PACKERZ n’y touche On sortira des tenebres avec quelques coups dans l’zen On f’ra peter l’energie commedes supers sayen Energie négative après la 1er pause, Quand l’effet des différentes substances se superposent. Je suis super mal, mais super là Sur scène mais faut qu’j’sorte mon cerveaux d’son tupperware. Energie hydrolique dans un verre de bière, J’ai consommé tous mes pêchés faut que j’digère mes prières. Je me perds dans le set mais j’crois que j’m’en pête en fait, Je me pête la tête en fête et j’en perds le sens de mes textes. Mais pas les joules dans mes cordes vocales, Kilowat et force noire, RZ file au bar et force toi Force toiet farcie toi d’energie solaire, Rapproche toi des poles celestes, avale une étoile polaire. Métaphorique musique, met ta folie en brique Que l’mur du son nous rapproche de l’appocalypse. Eli et Syd, connection nerveuse, les secrets d’notre énergie sur l’carnet d’commande d’une grosse serveuse Du feu dans la voix, du courant au bout des doigts Promenez vous dans la boite pendant que PACKERZ n’y est pas En plus on sort du moule, la force des potes dans la foule On fra peter ton matos comme une ambassade a kaboul Du sang dans la bouche, d’la sueur entre les touches Profitez de votre musique de merde avant qu’PACKERZ n’y touche On sortira d’notre bulle, l’amour du live comme moteur On t’fra peter la capsule, comme des putain d’PACKERZ
2.
PCKRZ 05:58
J’crois qu’j’ai perdu l’fil et ça fait sauter mes points d’sutures On s’projette plus dans l’avenir on fume des joints d’futur Dans nos histoires obscures, les gosses meurent d’overdose, La sorcière a des murs en drogues dures. Dur de faire le mur quand les douves sont pleines de jack daniel’s L’happy end bidon ou lapidation, c’est comme choisir un ami entre l’anthrax et l’amiante Ames errantes et amourettes fantomes, hante mon palais comme l’arome de l’entiere bouteille de rhum antillais, le plomb dans ma poche donne une démarche en billée en liaison avec les ancêtres et la science via l’encyclopédie de poche de l’acide j’crois que j’ai perdu le fil téléphone ne sonne plus, j’me ferais vomir qu’on s’trouve des atomes crochus. Les images parlent, et la résime crame à la flamme d’un cierge quand le zippo n’marche pas. Marchandé de l’arche, maudit L’archange est un lache, on dit qu’il s’est tus quand Noé m’a vendu à des marchands d’esclaves Resté sous les pyramides, loin de la terre promise J’attends que mes sept plaies ne cicatrisent Ref : Des herses sous les pieds de PCKRZ, les fléches percent le système solaire Et quand les mers recouvriront la terre, qu’on roule un joint d’ma poussière Des herses sous les pieds de PCKRZ, les fléches percent le système solaire Et quand les mers recouvriront la terre, qu’on tape une trace d’ma poussière Tu trouveras pas plus glauque, gonzo music On t’apprend la vie comme un porno ludique, Lubrique, j’finis mal ou j’finis dans ta sœur Mais pudique, on s’fait des masques en peau d’enfants de chœur Le cœur y est, le sang infecté nous donne mauvais fond, comme des cendriers Tenez ceci est mon corps dans une poche sous vide, avant qu’vous n’me reniez au chant des chauves-souris Sourire sur les bords d’une pinte de bière, à enterrer ses rêves on fait un cimetière d’son lopin d’terre. J’pars avec les perdants, reviens avec les walking dead Les hommes ont peur et la peur à peur de devenir dingue, Dingue qu’on fasse son taff mieux qu’elle : j’terrorise femme enfants comme jacquie et michel ou l’croque mitaine. Cristaux blancs, brume violette : quartz et cobalt J’écris l’avenir avec la plume de quetzalcoalt Coit glacial dans petit espace, aurais-je perdu le gout de ces filles qu’on ne paye pas ? Tâche noire dans mon œil droit : change de bobine Face noire, angle droit, j’change pas d’copine Mais d’routine, augmente les doses sans qu’ça s’voit J’pense en boucle du porno pour oublier le son d’sa voix Et la sensation de manque n’est plus quand je suis le neptune des eaux brunes et des shots purs Y’a un match d’UFC dans ma boite cranniene, mes rêves à l’aise comme une bande d’iraniennes dans une boite arienne La boite à rythme comme boite noire Qu’on s’souvienne mal de ma version bêta comme de marine ou d’batman Bavaria, santa maria Honte à moi, je m’agenouille devant les mauvais dieux Mauvais œil, mauvais jeu, maudit croupier Un coup d’œil sur mes stats : un coup d’rein et dix coups d’pieds Dans du vent, dans des ventres déjà ivégéisés Ramenez-moi au labo, le monde réel me dépayse Des pistes pleines de parasites, dépisté positif, des pastilles plein le transit Transpirant, transcendé, transpotting Grand looping quand mes pupilles font du trampoline J’ai la tremblote, la glotte embourbée de bourbon, mon bourdon rejoins la côte en bouée Trop tournée vers moi-même, j’me perds dans le masque J’opère dans le noir les opéras de mon mister hyde Mystique rider de l’age noir Trouvez l’fil de mon histoire dans les viscères d’un chat noir Pacha dans la débauche, gravas dans la bavouche, j’chante pas ma vie j’fais que cracher mes cellules souches Insuffle moi la vie comme tu remplierais un cendar vide, J’ai appelé à l’aide, j’suis tombé sur sa standardiste.
3.
Titor 04:54
On t’avait pourtant juré que grandir c’était cool : T’as des couilles, t’as une poule, t’as une caisse , t’as une bourse. T’as un avenir tout tracé, T’as le cul déjà moulé dans une chaise de bureau toute carrée. T’as dit non du coup eux te disent fous, Tu refuses la tyrannie de la taille de ta liste de course. Mais tu connais le malaise qui de la vie qu’on mène, Le malaise du rejet des sirènes du monde moderne. Le porno c’est marrant, et la drogue ça va un temps, Mais les hivers s’enchainent depuis l’printemps de tes 20 ans. La vie d’adulte, c’est pas la vida loca qu’on paye un canon à ma tempe pour ma vie d’allocations. T’habites dans un local, un bocal à poissons rouges, Ton seul meuble te bouffe la mémoire quand tu presse le bouton rouge. Et la régie me relance de plus belle, Mais les pourritures de vos bureaux sont bien loin de mon local-poubelles. La coupe est pleine puis sa bouche est pleine De « je t’aime » que tu jettes et cherchera dans une bouteille. Pauvre fou, ton couple était pas mal, Et maintenant qu’t’es seul le porno grignote tout tes orgasmes. Voilà ta routine, ta jolie petite putain, Et ça c’est la laisse de ta chienne de vie accrochée à son sac à main. Elle te bute, elle te brule, elle nous rend normaux. Regarde s’éloigner tes rêves sur leur grands chevaux. Changer l’D en I c’est pas ta priorité. T’rajoutes toujours 100 balles quand on t’demande combien t’as mis d’coté. Merde ! Spectateur de ta propre série, que c’est triste. Streaming pas terrible, t’avances de façon pathétique. Décalage dans les sous-titres : discussions sans queues ni têtes, Tu n’sais pas c’qui n’va pas, collectionne les névroses sans étiquette. Tes même pas d’ce siècle, tu t’sens pas d’cette espèce, Anachronisme trahi par ta paire de basket. Merde, dessine-moi un thérapeute. Entre existence basique et rêve sous acide, j’ai besoin d’un terrain neutre. On a tous besoin d’une pause et de porno soft, On s’immole pour qu’les charognes ne veillent pas d’nos corps. Nos corps noirs, nos corps froids, nos corps froissés d’entorses, Toi et moi on tourne en rond en bon multiple de 3.14. Mais à tort tu te sous estimes, Tu craches de l’or, tu caches tes talents créatifs dans un molesquine. Le molosse qui garde l’enfer ne rongera pas nos os, On crevera pas d’un mal inconnu comme ces putains d’dinosaures. Plus d’alcool que d’optimisme, dans nos verres à moitié vide Quand l’année de ton quart de siècle est celle de nos moitiés d’vies. J’suis d’accord qu’on positive qu’dans l’orangé d’un alcootest, Mais faisons l’effort, voyons plus loin qu’l’after discotheque. Hin, roule un gros joint d’espoir, Fuis ta ville, vire la fille d’ton lit si t’as besoin d’espace. Ecoute les voix dans ta tête, Voyage, Et qu’ton sac sois fait quand j’arrête.
4.
Westeros 05:23
J’tourne en rond dans les profondeurs de Westeros Tout mes potes perdent la tête, toutes mes ex perdent les eaux. Alors ça devient personnel, On perce ou on crève, coupe moi la tête j’ai des beaux rêves tous plein la perf'. Performeurs, sauvageons : jeans noirs et peaux d’bêtes. J’aime mon public, je lèche les os de son squelette. Sous amphet', surgelés déjà périmés. Marketés, surjoués, produit dérivés. Nous on ponctionne les machines, masque nos avatars, On fait pas d’nouveaux morceaux, on fait qu’enfanter d’sales bâtards. J’atterris, j’amerris dans une flaque de whisky. J’applaudis, répands la poudre comme l’empreinte d’un husky. OPA hostile sur les maisons d’disques, Mais les producteurs nous veulent mort avant la saison 10. On nourrit les rats de charpie royale. Carte mère et cordes vocales, leur bête noire est bicéphale. C’est viscéral, je crache sur l’élite musicale, Surprotégée derrière les murs de la capitale. Mi animal, mi-homme : redoutez la horde, On vient faire danser le petit peuple au bout d’une corde. J’horrifie ma famille, j’glorifie la farine et les femmes aux orifices qui me disent « oui » J’terrorise les gamines, immortalise nos héros, noie et brûle les oracles qui nous disent « non ». Non au pouvoir illégitime, au culte des richissimes familles. ELI et SYD, narine et canine. Vite, vite j’déprime dans notre palais en ruine à réunir les clans Campbell et les soldats de sir Jim Beam. Bim ! et en rentrant dans ta ville, on marquera le territoire en crachant de la bile. Alors lâchez les corbeaux, les morts sortent des tombeaux, Les tambours battent, les têtes tombent sous les stroboscopes. Guerre civile dans ta ville, Les anciens l’avaient prédit : quand l’électrique rencontre le débit. La lune noire des packerz, l’étendard des rapaces, Les lèvres violettes des cracheurs de tempête et de cadavres. Pas bavards, pas bavards, parle avec le glaive. Un buvard et j’remercie les dieux : parle avec le ciel. Parle avec les belles, dit leur qu’on en fera des veuves. Ecoute les nouveaux succès et dis toi qu’on en fera des vieux. Aie, j’m’arrache un doigt quand j’pars dans l’égotripe, Toutes les grosses têtes ne font pas les gros titres. Et si tous nos gros titres ne font pas de carton, Sache que d’tout les cartons je ferais de gros tripe. Les tripes a l’air, on lis l’avenir Musique de martiens, public de martyr Trop de sacrifices, l’héroïsme est relatif Et pour sauver ma tête j’en ai tranché dix Trempez , trempez les dans l’huile. Et les carcasses de vos idoles feront chanter nos fils. Ceci n’est pas un mouvement, A part le balancement de gauche à droite de tes groupies quand on les pend. Alors pense y, pense à tes gosses devant nos clips, A nos esprits déviants, à leurs yeux vides pendant un trip. Alors signe l’armistice, paye ton contrat Qu’on se rétracte, que ton visage reste collé à ton crane. Capitale on est bientôt là mais déjà lassé, du manque de barbarisme des artistes français0 Alors dansez, dansez, c'est bientôt la fin du bal, J’envoie au roi nos fables noires écrites avec la main du diable. Il t’reste plus que dix secondes pour baisser ton pont levis, Que les filles de ta ville brodent nos lettres sur leur veste en jean. Paris n’est pas plus loin, que leur bite de leur main quand ils nous entendent nos refrains.
5.
1929 03:52
1929 J’implose comme un cerveau sous acide, J’assiste tous les jours assis à la scène de mon propre suicide. J’me bousille, comme les portes des geôles le jour d’ la prise de la Bastille, L’amour rend aveugle, j’dilate mes pupilles avec des pastilles. J’dilapide ma tune, me met à sec avec tout c’qui m’hydrate. J’fuis la terre ferme, fais peur aux gosses, comme un putain d’pirate. Désespère pas pour moi, je vais bien enfin je crois mec, J’croise le fer avec mon envie croissante de sexe quand je croise mon ex. Croise les jambes, chérie, ta jupe me rend animal, J’passe en point d’patinage quand j’passe dans un coin d’tapinage. J’m’habille mal car le malaise de l’être et du paraitre me perturbe. Je n’suis plus l’ombre de moi-même mais bien le reflet de mon amertume. Une plume pour passer le mur du son, La rumeur dit que la tumeur gangrènerait nos membres et gagnerait nos rangs, Mais vu la couleur de mon sang, Dites-moi comment j’pourrais rêver d’une mort descente. Pourtant je jure avoir tout fait pour vivre comme vous, Comme vous le vouliez pour mon bien, qu’est c’que le bien quand on vit comme un fou ? Je voulais vivre ma vie comme un éternel saut en parachute, Bébé, dire à ton mac que j’suis tombé amoureux d’sa pute. Je voudrais voir autre chose, être conscient aux aurores, Décalcariser le fossile de mon encéphalosaure. Désenfumer mon orifice buccal, j’n’y arrive plus. Protège-toi du nuage toxique quand tu m’arraches un rictus. Protège-toi de ma compagnie désormais. Fuis moi comme la peste avant qu’mon corps n’empeste les restes d’une vie d’mort-né. J’ai tout fais, j’ai porté aussi longtemps que j’ai pu Leurs attentes, en rêvant d’prendre la tangente aussi souvent qu’j’ai bu. A buter sur des culs d’bouteilles, j’saigne des ongles des orteils. Ce que je gagne en plomb, mon corps le perd en raison et en sommeil. Le soleil est témoin d’notre descente aux enfers plus souvent qu’la lune, Les cendres de l’excès ne s’éteignent pas car la lumière s’allume. Mais j’ai été malhonnête envers vous, lâche et peut être pire encore. Avant qu’une bâche ne me recouvre et que le formol ne me remplisse le corps, Montrez-moi ce que j’aurais pu être, Ça va peut-être me répugner, mais quitte à m’pougner, J’préfère le faire sur c’que je voudrais être. Perdu en plein paradoxe de la cause et de l’effet, J’passe rapidement de ma dose éphémère à ma prose désespéré. Perdu à ne plus savoir quoi fuir : ma nature ou mon avenir ? C’est la peinture de mon cerveau jeté en pâture aux délires. Alors je craque et j’implose, Je pille nos propres morceaux et si la fin est si riche, C’est que j’ai braqué l’intro. L’introspection c’est surement la plus vue sur ma névrose, J’intériorise mais j’m’emporte. Mais maintenant c’est sûr, là j’explose.
6.
CLARA 04:14
CLARA J’ai besoin de déstresser, j’ai déjà le fute baissé, En plus maman n’est pas là, j’aurais pas besoin de m’presser. Je vais mettre le son à fond, je vais jeter mon caleçon, Non je n’vais pas me faire per-pom, je vais mater un film cochon ! (x2) Putain de journée de merde, pour oublier tous mes problèmes, Faut que ma verge gerbe sa crème. Prêt pour un génocide de spermatozoïdes mec, La modération passe aux oubliettes. Ma zigounette est sortie, personne m’a vu plus à poil que mon ordi, C’est pas ordinaire, mais on dit même Qu’aux filles réelles, j’préfère les suites de codes binaires. Bref, les fesses striées par l’osier de ma chaise, Je commence à m’astiquer sur le gosier d’la chienne Qui est apparue à l’écran, Jambes écartées, talons carrés, grand écart et collants fendus, Le programme en est tellement alléchant. Puis là, le son déconne, l’ordi marche mal, Le sol s’dérobe, l’écran m’avale, M’recrache à poil au milieu d’une orgie interracial. La pute de t’a l’heure m’dit « chic, Déjà nu, pour nous c’est pratique ! ». Les dieux d’internet m’ont envoyé dans un film pornographique ! J’pose mon cul lisse sur un pouf, Matte le cuni que la pouf Administre avec tant de passion, Les cuisses trempées comme un banc d’poissons. Poisson frais, j’ai envie d’aller pêcher. Boisson fraîche, j’ai envie de lécher le fruit pendu aux branches du pêcher. Elle s’amuse, Et si c’est en écoutant la langue qu’on la parle je vais bientôt comprendre l’anulingus. J’ai pas le temps de romancer, on m’attend pour m’attend pour commencer. En plus le caméraman est prêt, on va pouvoir commencer. Je vais casser des côtelettes, elle va manger un morceau, J’vais pas jouer à la dinette, je vais jouer dans un porno ! (x2) J’ai envie d’être dégelasse, Appelle moi papa, papy, docteur, menteur, mentor Si le scénario prévoit ta petite sœur. Dans le quart d’heure, paix à sa croupe quand je rentre, Elle perd sa bouche et ses dents. C’est l’amour foutre quand ma poutre rencontre ses glandes Salivaires. J’la salis, verge la main. Elle fuit d’un certain litre de ce liquide que les sales vierges ne perdent qu’à la fin. Mais enfin, serait-ce l’heure de finir ? Que j’m’incline ? Le metteur en scène me fait signe faut qu’j’me retire. Déjà ? Putain c’est l’heure de l’éjac (x4) Faciale, car j’suis pas malade Jack. Déjà, je sens l’arnaque car le renard à la patate Pour pas finir dans son cul d’sac. Dans lequel ma bite est quarantaine, J’fais dans l’interdit à moins de quarante berges. J’suis parti tellement loin dans sa panse de chienne, Que j’ai l’impression d’être en vacances même. C’est de la torture pure et dure. Purée, dure de faire durer la purée sans tricher Ou sans qu’dure Red Bull m’inonde l’urée. Je sens ses griffes lacérer mes côtes, La serrer, mon pote, c’est fait. Lui tasser les mottes, c’est fait. M’reste plus qu’à lui cracher la note attestée par le cachet de la post- Mortem, est l’orgasme : J’crois qu’elle ne bouge plus, tant pis, j’vais m’vider, Lâcher la foule, faire un hôtel d’ses organes. Juste un dernier coup, juste un dernier coup…

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released February 13, 2015

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PCKRZ Lyon, France

1990, salle n°15 d'une maternité lyonnaise, deux nourrissons sont échangés. 21 ans plus tard, ils se retrouvent lors d'une réunion de pharmaco-psychotiques anonymes. Depuis PCKRZ c'est une carte mère en surtension branchée sur quelques cordes vocales enraillées. ELI et SYD. ... more

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